Association Rèpublicaine Irunaise
"Nicolás Guerendiain"
La défense des valeurs républicaines et la récupération de la mémoire historique

Persécutés

Irun. Soulèvement militaire et dictature de Franco • Carte

De l'Association républicaine Irunesa Nicolás Guerendiain, nous présentons une carte qui comprend 54 points de la ville liés au soulèvement militaire du 18 juillet 1936 et à la répression de la dictature franquiste à Irun.

La carte peut être collectée dans différentes entités et établissements de la ville.

La carte peut également être consultée dans une version interactive.

Mapas

Le pavillon Pequeña Velocidad comme Lieu de la Mémoire

Le seul camp de concentration de Gipuzkoa encore debout. Ce pavillon est situé à côté de l'ancien bâtiment des douanes d'Irun.

Camp de concentration de prisonniers d'Irun (Stadium Gal)

Travaux effectués par Aiala Oronoz sur le camp de concentration de prisonniers d'Irun. (1939-1942)

Répression à Irun • L'habilitation du personnel ferroviaire de la gare d'Irun. (1936-1943)

Travaux effectués par Aiala Oronoz sur les cheminots sanctionnés à la gare d'Irun au fil des ans (1936-1943)

Répression à Irun • Prisonniers irunaises dans la prison d'Ondarreta (1937-1947)

Travaux effectués par Aiala Oronoz sur les prisonniers irunaises qui se trouvaient à la prison d'Ondarreta au cours des années (1937-1947).

Vous trouverez dans cette rubrique le nom des femmes et des hommes d’Irun, victimes des représailles du franquisme ou comme conséquence de la guerre civile.
Font: Pedro Barruso

Cette liste est loin d’être complète. Par conséquent, si vous connaissez d’autres personnes ou si vous détectez une erreur quelconque, nous vous saurions gré de nous le faire savoir.

Pour trouver une personne concrète, il suffit de taper son prénom ou son nom de famille.

IRUN, exécutés par les franquistes

Iñaki Egaña (16-08-2006)

Une trentaine d'irunais, plus ou moins, furent passés par les armes par les fascistes, certains d'entre eux, blessés lors des derniers combats en défendant leurs positions et qui n'avaient pu être évacués. Comme dans tout le Gipuzkoa, la répression sur les femmes des militiens fut la plus sévère. A Irun, après la rall.e des rebelles on trouva une maxime pour la posterité: Maison non brûlée, maison mise à saca...

Maquis dans un cimentière

Vous trouverez ici les hommes et les femmes, habitants d’Irun, qui, après la Guerre Civile, ont rejoint la guerrilla ou ont combattu durant la IIème Guerre Mondiale.

Durant les 40 années de dictature, ainsi que durant les années de transition, de nombreux hommes et femmes sont décédés en luttant pour la défense de la liberté et contre le régime. La plupart des cas sont tombés dans l’oubli et sont restés impunis. Cette liste prétend leur rendre hommage et revendiquer leur mémoire.

Franco